Póvoa de Varzim, une ville de pêcheurs

Póvoa de Varzim, une ville de pêcheurs

L’histoire de la ville est intimement liée à la pêche.

Au milieu du 19e siècle, sur 11 000 habitants, 8 000 travaillaient dans un métier en lien avec la pêche, et il y avait plus de 4 000 marins qui partaient en mer. Aujourd’hui, il reste quelques bateaux de taille moyenne, mais pas plus d’une vingtaine.

Un musée a été créé pour sauver la mémoire de cette culture très particulière.

Toutes les cultures qui reposent sur des traditions orales ont rapidement disparu au cours du 20e siècle, et c’est le cas de celle-ci. Nous avons rencontré une historienne qui nous a raconté des histoires passionnantes sur la vie des pêcheurs autrefois.

Une ancienne barque traditionnelle
Sur cette photo ancienne, la plage est recouverte de bateaux, d’hommes revenant de la pêche et de femmes les aidant à trier les filets
Ce bateau n’était pas un bateau de pêche mais de secours. Les accidents étaient nombreux et les pêcheurs, solidaires, s’étaient organisés pour aller aider des bateaux dans la tourmente.
A votre avis, quel à quoi pouvait bien servir cet objet ? Indice : on pouvait le retrouver sur les bateaux de sauveteurs.
Deuxième indice : il est en liège.

Ceci est le vêtement traditionnel du pêcheur de Póvoa de Varzim. En laine, il es brodé au point de croix avec des motifs de bateaux, de bouées, de rames et autres symboles de navigation.

De notre côté, nous avons attendu notre hélice de moteur…

La voilà, toute belle toute neuve, avec quatre pales. Tout aurait été si simple si nous avions juste dû la remonter… Mais voilà maintenant que le moteur ne redémarre plus.

Premier cours de mécanique pour Marine, qui a découvert comment fonctionne un carburateur, qu’est ce que c’est qu’une durite, comment régler le niveau de richesse (pas d’or, de l’essence !)

Et voilà le carburateur, démonté et nettoyé…. Mais ça ne suffit pas…

C’est dimanche soir, la nuit est tombée. On a épuisé les chaines Youtube de mécanique, on a essayé les copains et la famille au téléphone, notre voisin de ponton, mais rien n’y fait. Bon, on a encore quelques pistes à essayer demain matin. Il faudra aller chercher des quelques pièces, faire des tests, et on espère que ça nous permettra de repartir !